Depuis les premières manifestations de fragrances irréversibles, Isadora avait cessé d’accueillir les internautes. Elle restait enfermée dans son manufacture, entre les alambics, les huiles denses et les poudres végétales, optant pour les formules anciennes avec suspicion. Les flacons contenant les permis mauvaises étaient soigneusement étiquetés et rangés à l’écart, dans https://simonfloop.blogoscience.com/40495219/le-parfum-de-le-futur