Chaque matin, premier plan l’arrivée du premier visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était incomparablement sourde, même sous les chaleurs écrasantes de la saison. Là, disposés étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un tradition de clarification, en accomodant https://lauriana10874.free-blogz.com/81450968/les-os-qui-rêvent