À Bucarest, les toits de cuivre oxydés luisaient d’un éclat terne sous les premières pluies d’octobre. Dans un maison excentré, protégées de certaines regards, une féminité nommée Daciana avait transformé une pièce farouche en sanctuaire vibratoire. Spécialiste en radiesthésie pendant l’adolescence, elle manipulait son pendule avec une précision qui avait https://edgarujuck.blogolize.com/le-cours-consumé-73111693