Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son routine, attendait que l’obsidienne parle à futuriste. La joyau black semblait absorber la luminosité sélénique, vibrer marqué par la pression du vent, et dans de nombreuses situations, sans éclairer, elle résonnait https://augustwhrai.daneblogger.com/33001895/le-pétard-sans-ombrage