Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son tic, attendait que l’obsidienne parle à futuriste. La pierre black semblait absorber la luminosité de lune, vibrer par-dessous la pression du vent, et assez fréquemment, sans alerter, elle résonnait de cette https://rafaelugouy.tribunablog.com/les-marques-effacées-48265300