La gare était plongée dans une brume dense, un tenture épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de le lien indiquait minuit, l’heure exacte du début du train. Le passager se tenait arrêté, adoptant l’immense machine d’acier abîmer qui sifflait doucement, prête à https://damienzjoru.blogdiloz.com/32915436/le-numéro-attendu