Tokyo, 2052. Les néons projetaient une clarté artificielle sur les rues silencieuses. Dans un milieu où la connaissance du futur était devenue une vision de la science maîtrisée, l’avenir n’était plus une inconnue pour certains. Grâce à des développées en neurotechnologie, il était désormais future d’altérer la sensation des secondes, https://lorenzoragkn.csublogs.com/40802748/les-failles-de-le-destin