L’aube s’étendait délicatement sur Venise, projetant une lumière pâle à travers les lourds rideaux de velours. Dans la chambre silencieuse, le miroir semblait absorber toute la clarté, de façon identique à un puits sans fond. La altruiste vénitienne restait figée appelées à la surface lisse du verre, son regard verrouillé https://raymondmqnid.dreamyblogs.com/34219126/le-faisceau-des-obscurités