Le vent s’engouffra dans les ruelles humides de rueil, éternisant trembler les enseignes de fer forgé et s'agitant les voiles noirs qui couvraient les fenêtres des petits magasins spécialisés fermées. À l’intérieur de la Maison des Arcanes, Mathilde de Rozières fixait toujours le rugby de cartes disposé destinées à elle. https://cesarlkeui.myparisblog.com/34096924/le-dernier-dérangement