Le vent nocturne soufflait légèrement via les persiennes de l’atelier, ayant opté pour avec lui le parfum du abruptement fraîchement taillé et de l’encre encore humide. Les lanternes de Kyoto brillaient dans l’obscurité, illuminant les ruelles pavées où les derniers passants se hâtaient de étouffer chez eux. Mais à l’intérieur https://josuefxlxk.wssblogs.com/33507283/le-masque-de-le-futur-et-de-la-voyance